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Je raccroche - j'y vais
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L ' ARCOUEST

L ' ARCOUEST

« Je pourrais presque te voir.  L’île semble si proche…  Excellent !  C’est toujours magnifique cette traversée.  La mer, le ciel, l’écume du bateau et tout cet océan d’îlots, de rochers, de flaques de lumière qui jouent sur l’eau…  Mais voilà, c’est fini Bréhat, je rentre sur le continent.  Quand nous reverrons-nous ?  Nous reverrons-nous ?...  Toi sur ton île et moi si loin…  Si, les îles sont toujours lointaines malgré les bateaux.  C’est peut-être pour ça que je les aime… Je sais…  A quoi vas-tu penser sur ton île ?...  Oh ! il pleut !...  Moi, sur une île, je pense autrement…  Si, si, je t’assure.  On dirait que ma pensée est toute pleine d’eau, est rythmée par la mer…  Ça y est la pluie s’est arrêté…  Je m’ennuie déjà de toi, de Bréhat…  Regarde, regarde bien par-dessus la mer.  Je vais sortir de la cabine et sur la jetée te ferai de grands signes.  J’ai un foulard blanc.  Si tu crois voir une mouette, ce sera moi.  Attends, je raccroche, j’y vais. »
« Je pourrais presque te voir.  L’île semble si proche…  Excellent !  C’est toujours magnifique cette traversée.  La mer, le ciel, l’écume du bateau et tout cet océan d’îlots, de rochers, de flaques de lumière qui jouent sur l’eau…  Mais voilà, c’est fini Bréhat, je rentre sur le continent.  Quand nous reverrons-nous ?  Nous reverrons-nous ?...  Toi sur ton île et moi si loin…  Si, les îles sont toujours lointaines malgré les bateaux.  C’est peut-être pour ça que je les aime… Je sais…  A quoi vas-tu penser sur ton île ?...  Oh ! il pleut !...  Moi, sur une île, je pense autrement…  Si, si, je t’assure.  On dirait que ma pensée est toute pleine d’eau, est rythmée par la mer…  Ça y est la pluie s’est arrêté…  Je m’ennuie déjà de toi, de Bréhat…  Regarde, regarde bien par-dessus la mer.  Je vais sortir de la cabine et sur la jetée te ferai de grands signes.  J’ai un foulard blanc.  Si tu crois voir une mouette, ce sera moi.  Attends, je raccroche, j’y vais. »
« Je pourrais presque te voir.  L’île semble si proche…  Excellent !  C’est toujours magnifique cette traversée.  La mer, le ciel, l’écume du bateau et tout cet océan d’îlots, de rochers, de flaques de lumière qui jouent sur l’eau…  Mais voilà, c’est fini Bréhat, je rentre sur le continent.  Quand nous reverrons-nous ?  Nous reverrons-nous ?...  Toi sur ton île et moi si loin…  Si, les îles sont toujours lointaines malgré les bateaux.  C’est peut-être pour ça que je les aime… Je sais…  A quoi vas-tu penser sur ton île ?...  Oh ! il pleut !...  Moi, sur une île, je pense autrement…  Si, si, je t’assure.  On dirait que ma pensée est toute pleine d’eau, est rythmée par la mer…  Ça y est la pluie s’est arrêté…  Je m’ennuie déjà de toi, de Bréhat…  Regarde, regarde bien par-dessus la mer.  Je vais sortir de la cabine et sur la jetée te ferai de grands signes.  J’ai un foulard blanc.  Si tu crois voir une mouette, ce sera moi.  Attends, je raccroche, j’y vais. »
« Je pourrais presque te voir.  L’île semble si proche…  Excellent !  C’est toujours magnifique cette traversée.  La mer, le ciel, l’écume du bateau et tout cet océan d’îlots, de rochers, de flaques de lumière qui jouent sur l’eau…  Mais voilà, c’est fini Bréhat, je rentre sur le continent.  Quand nous reverrons-nous ?  Nous reverrons-nous ?...  Toi sur ton île et moi si loin…  Si, les îles sont toujours lointaines malgré les bateaux.  C’est peut-être pour ça que je les aime… Je sais…  A quoi vas-tu penser sur ton île ?...  Oh ! il pleut !...  Moi, sur une île, je pense autrement…  Si, si, je t’assure.  On dirait que ma pensée est toute pleine d’eau, est rythmée par la mer…  Ça y est la pluie s’est arrêté…  Je m’ennuie déjà de toi, de Bréhat…  Regarde, regarde bien par-dessus la mer.  Je vais sortir de la cabine et sur la jetée te ferai de grands signes.  J’ai un foulard blanc.  Si tu crois voir une mouette, ce sera moi.  Attends, je raccroche, j’y vais. »

« Je pourrais presque te voir. L’île semble si proche… Excellent ! C’est toujours magnifique cette traversée. La mer, le ciel, l’écume du bateau et tout cet océan d’îlots, de rochers, de flaques de lumière qui jouent sur l’eau… Mais voilà, c’est fini Bréhat, je rentre sur le continent. Quand nous reverrons-nous ? Nous reverrons-nous ?... Toi sur ton île et moi si loin… Si, les îles sont toujours lointaines malgré les bateaux. C’est peut-être pour ça que je les aime… Je sais… A quoi vas-tu penser sur ton île ?... Oh ! il pleut !... Moi, sur une île, je pense autrement… Si, si, je t’assure. On dirait que ma pensée est toute pleine d’eau, est rythmée par la mer… Ça y est la pluie s’est arrêté… Je m’ennuie déjà de toi, de Bréhat… Regarde, regarde bien par-dessus la mer. Je vais sortir de la cabine et sur la jetée te ferai de grands signes. J’ai un foulard blanc. Si tu crois voir une mouette, ce sera moi. Attends, je raccroche, j’y vais. »