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Je raccroche - j'y vais
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ETABLES SUR MER

ETABLES SUR MER

« C’est Annie !  Je ne sais pas si tu te souviens, Annie, la fille que tu appelais la fille des nuages. Bien des nuages ont filé depuis, bien des ciels sont passés.  Me revoilà !  Cet été j’ai eu envie de revoir la Bretagne, sa côte crénelée, ses marées, ces ciels changeants et j’ai repensé à Etables et à la longue plage de sable fin où nous allions marcher tôt le matin.  Je me souviens d’une maison en pierre avec de petits balcons en bois et d’un jardin devant plein d’hortensias.  C’était dans une avenue bordée de tilleuls.  Je me souviens des soirs qui n’en finissaient pas, de ta main qui cherchait à retenir mes longs cheveux quand le vent soufflait, des grains de sable sur tes doigts quand tu les glissais sous mon chandail.  J’ai retrouvé ton numéro.  Je ne sais pas si tu habites encore là.  J’espère que c’est toi qui auras mon message.  C’est moi, Annie, la fille des nuages. »
« C’est Annie !  Je ne sais pas si tu te souviens, Annie, la fille que tu appelais la fille des nuages. Bien des nuages ont filé depuis, bien des ciels sont passés.  Me revoilà !  Cet été j’ai eu envie de revoir la Bretagne, sa côte crénelée, ses marées, ces ciels changeants et j’ai repensé à Etables et à la longue plage de sable fin où nous allions marcher tôt le matin.  Je me souviens d’une maison en pierre avec de petits balcons en bois et d’un jardin devant plein d’hortensias.  C’était dans une avenue bordée de tilleuls.  Je me souviens des soirs qui n’en finissaient pas, de ta main qui cherchait à retenir mes longs cheveux quand le vent soufflait, des grains de sable sur tes doigts quand tu les glissais sous mon chandail.  J’ai retrouvé ton numéro.  Je ne sais pas si tu habites encore là.  J’espère que c’est toi qui auras mon message.  C’est moi, Annie, la fille des nuages. »
« C’est Annie !  Je ne sais pas si tu te souviens, Annie, la fille que tu appelais la fille des nuages. Bien des nuages ont filé depuis, bien des ciels sont passés.  Me revoilà !  Cet été j’ai eu envie de revoir la Bretagne, sa côte crénelée, ses marées, ces ciels changeants et j’ai repensé à Etables et à la longue plage de sable fin où nous allions marcher tôt le matin.  Je me souviens d’une maison en pierre avec de petits balcons en bois et d’un jardin devant plein d’hortensias.  C’était dans une avenue bordée de tilleuls.  Je me souviens des soirs qui n’en finissaient pas, de ta main qui cherchait à retenir mes longs cheveux quand le vent soufflait, des grains de sable sur tes doigts quand tu les glissais sous mon chandail.  J’ai retrouvé ton numéro.  Je ne sais pas si tu habites encore là.  J’espère que c’est toi qui auras mon message.  C’est moi, Annie, la fille des nuages. »

« C’est Annie ! Je ne sais pas si tu te souviens, Annie, la fille que tu appelais la fille des nuages. Bien des nuages ont filé depuis, bien des ciels sont passés. Me revoilà ! Cet été j’ai eu envie de revoir la Bretagne, sa côte crénelée, ses marées, ces ciels changeants et j’ai repensé à Etables et à la longue plage de sable fin où nous allions marcher tôt le matin. Je me souviens d’une maison en pierre avec de petits balcons en bois et d’un jardin devant plein d’hortensias. C’était dans une avenue bordée de tilleuls. Je me souviens des soirs qui n’en finissaient pas, de ta main qui cherchait à retenir mes longs cheveux quand le vent soufflait, des grains de sable sur tes doigts quand tu les glissais sous mon chandail. J’ai retrouvé ton numéro. Je ne sais pas si tu habites encore là. J’espère que c’est toi qui auras mon message. C’est moi, Annie, la fille des nuages. »